• Pour la pâte sucrée :
  • 250 g de farine,
  • 100 g de sucre glace
  • 100 g de beurre
  • 1 gros œuf
  • éventuellement un petit peu d'eau
  • Pour la garniture :
  • 350 g de marmelade d'oranges
  • Pour l'appareil à succès :
  • 3 blancs d'œufs montés en neige
  • 110 g de sucre fin
  • 110 g de poudre d'amande
  • 20 g de farine
  • Décoration :
  • écorces d'orange confites

Le dessert préféré d’Alain… (avec tous ceux aux amandes, tous ceux aux marrons, etc…)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sabler (1) la farine, le sucre et le beurre. Ajouter l’œuf battu (on peut, si besoin, ajouter une càs d’eau). Pétrir sans trop travailler.

Fraiser (2). Réserver au frais. Dans le cas de grosses tartes à couper en parts, ajouter dans la farine 2 g de levure chimique afin que la pâte soit aérée et plus facile à couper sans se briser.

L’étaler sur une épaisseur de 3 mm. Découper une abaisse de 22 cm de diamètre environ. La déposer sur la tôle à pâtisserie. (Cette pâte est très difficile à étaler, car  » collante « , je l’étale directement sur un papier sulfurisé que je pose ensuite sur la plaque)

Retourner du bout des doigts une largeur d’un cm de pâte tout autour et la remonter en la pinçant entre le pouce et l’index (pour faire un bord). Piquer la pâte avec une fourchette. Etaler la marmelade d’oranges.

Mélanger délicatement les ingrédients de la pâte à succès.

Répartir l’appareil à succès sur la marmelade. Saupoudrer de sucre glace. Décorer avec les écorces d’oranges.

Cuire au four à 180°C (th.6) environ 30 minutes.

Note : les écorces d’orange durcissent à la cuisson, on peut ne pas en mettre, ou les ajouter en fin de cuisson.

 

(1) Sabler : Amener à l’éat friable le mélange des ingrédients destinés à une pâte brisée ou salée. Le sablage des éléments secs et du beurre s’effectue d’abord du bout des doigts, puis en prenant le mélange par petites quantités, que l’on frotte entre ses paumes. On ajoute ensuite l’eau ou les oeufs, puis la pâte est mise en boulet et doit reposer.

(2) Fraiser :  Pousser et écraser une pâte avec la paume de la main. Le fraisage a pour but d’obtenir un mélange intime des éléments et de rendre la pâte homogène mais non élastique. Quand le beurre, les oeufs et l’eau ont été rossièrement incorporés à la farine, on morcelle le mélange puis on le fraise. Les petites parcelles ont ensuite réuies en une seule grosse boule de pâte.